Les étranges contours des monts rocheux du fond semble démontrer une possible perturbation de la coexistence pacifique. Il y a une multitude d'oiseaux tant dans le ciel que sur le sol.
Apparaissent dans l'oeuvre, et surtout dans cette partie des animaux réels, mais très exotiques à l'époque de Jérôme Bosch comme des girafes, des éléphants, des lions, des léopards, des singes, alors que l'Afrique était alors pratiquement inconnue en Europe.
L'auteur a pu seulement avoir des références sur ces bêtes sauvages au travers des bestiaires mythologiques médiévaux (qu'il a largement dépassés) et des dessins qui commençaient à circuler grâce à l'imprimerie, surtout ceux qui avaient l'Egypte comme thème principal.